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Isabelle, bénévole - responsable Communication depuis mars 2015 - isabelle.lerevedaby@gmail.com

Je suivais Le Rêve d’Aby « de loin », sur les réseaux sociaux ou en participant aux portes ouvertes. J’ai un jour rencontré Sophie et Nastassia, qui faisait partie du comité à l'époque, à une conférence sur le bien-être animal et j’ai apprécié leur discours ouvert et posé. J’ai adhéré à leur vision du combat à mener, à la philosophie et aux valeurs du Rêve d’Aby.

Je viens d’une famille où on n’imagine pas ne pas manger de viande… Mais à l’âge adulte, on peut faire ses propres choix, en connaissance de cause. J’ai commencé par ne plus manger ce que je considérais comme inutile, foie gras, homard, magret de canard et j’ai supprimé de mon alimentation les “bébés”, agneau, veau, cochon de lait... J’ai ensuite réduit ma consommation de viande à deux jours par semaine, puis à un seul jour. En juillet 2014, après avoir vu un reportage sur l’élevage industriel et les conditions de vie épouvantables des animaux de rente, j’ai décidé de ne plus manger de viande du tout. Je ne dirais pas que ça a été facile mais mon esprit ne pouvait – et ne peut toujours pas – effacer les images vues ce jour-là. 

Déjà active en tant que bénévole terrain pour le refuge Sans Collier depuis plusieurs années et travaillant à plein temps, mon investissement pour l’ASBL était assez réduit au départ. Après quelques mois, en juin 2015, j’ai accepté officiellement de rejoindre le comité du Rêve d'Aby en tant que Responsable Communication, convaincue par la motivation et l’investissement des autres membres de l’équipe.

J'aime aussi accompagner les plus jeunes bénévoles dans leur cheminement et je suis admirative de leur engagement. 

 

Communiquer, partager, informer, sensibiliser, convaincre… Ce n’est pas le travail et les idées qui manquent pour faire une réalité de ce rêve auquel je crois. 

« Tout ce que tu feras sera dérisoire, mais il est essentiel que tu le fasses ».

Cette citation de Gandhi me suit dans tous mes engagements. Tout comme dans la légende du colibri, je fais ma part, du mieux que je le peux, avec les moyens dont je dispose.

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